De ses années passées au royaume de sa Très Gracieuse Majesté, Monsieur Arly avait gardé un goût prononcé pour les voitures anglaises et l’éducation britannique. Spécialiste de littérature française du XVIIIème siècle et universitaire reconnu, Monsieur Arly avait en effet été approché par la célèbre université écossaise de Saint Andrews, laquelle éduquait depuis des siècles une bonne partie de l’élite et de l’aristocratie britannique, et l’on avait spécialement ouvert une chaire pour qu’il parti... moreDe ses années passées au royaume de sa Très Gracieuse Majesté, Monsieur Arly avait gardé un goût prononcé pour les voitures anglaises et l’éducation britannique. Spécialiste de littérature française du XVIIIème siècle et universitaire reconnu, Monsieur Arly avait en effet été approché par la célèbre université écossaise de Saint Andrews, laquelle éduquait depuis des siècles une bonne partie de l’élite et de l’aristocratie britannique, et l’on avait spécialement ouvert une chaire pour qu’il participe à l’éveil intellectuel des jeunes étudiantes et étudiants bénéficiant du privilège de fréquenter cette illustre et vénérable institution.
Maintenant qu’il était retraité, seuls subsistaient de cette expérience écossaise une vieille Jaguar qui dormait dans son garage et des souvenirs qui lui revenaient en mémoire et, il faut bien le dire, une certaine nostalgie.
A cette période, il avait en effet prodigué son enseignement à de jeunes gens devenus depuis célèbres ou qui s’apprêtaient à entrer dans l’histoire.
C’est ainsi qu’il avait eu pour élève une jeune femme devenue princesse et appelée sans doute à devenir reine.
Lorsqu’il avait été nommé à ce poste prestigieux de l’Université de Saint Andrews, la direction de ce noble établissement avait informé Monsieur Arly de ce qu’il ne devait en rien hésiter à sévir en cas de manquements aux règles strictes en vigueur ainsi qu’en cas de laisser-aller dans les études, quelle que soit le nom ou l’origine de l’étudiante ou de l’étudiant défaillant. Pour l’institution, la vieille discipline britannique inculquée par des punitions corporelles était la base de toute réussite et il allait devoir appliquer ces méthodes largement éprouvées.
Cette méthode éducative n’était pas pour lui déplaire, car il l’avait déjà utilisée à quelques reprises et avec succès dans l’université française où il avait jusqu’alors exercé sur des étudiantes rétives dont les fesses, toutes bien-sûr volontaires, avaient été claquées et rougies pour permettre à leurs propriétaires d’effectuer de spectaculaires progrès.
A Saint Andrews donc, parmi ses étudiantes fraichement inscrites, figurait une certaine Miss K, jeune roturière assez fade, sans réelle beauté, mais à l’ambition débordante et dont les parents, de grands bourgeois, souhaitaient qu’elle y côtoie le gratin de l’aristocratie séculaire britannique dans le but de lui trouver un mari.
Cette étudiante fit d’abord preuve d’attention pendant l’enseignement, rendant des copies au contenu plus qu’honorable, voire parfois brillant, avant non seulement de déserter les cours, mais surtout de fournir un travail manifestement bâclé.
Monsieur Arly la convoqua pour s’enquérir de ce soudain revirement de comportement et la sermonna, l’avertissant de ce qu’elle risquait si ses notes ne remontaient pas de manière spectaculaire : tant la coutume en vigueur au sein de l’établissement que le mandat donné par le père de Miss K à l’université lui vaudraient une sévère correction sous forme de fessée.
Las ! Plutôt que d’améliorer son attitude et ses notes, la donzelle se comportait de plus en plus mal. Voilà maintenant qu’elle répondait aux professeurs, qu’elle s’habillait (s’il est permis d’employer ce verbe au vu des jupes portées de plus en plus courtes, laissant plus que deviner la culotte qui couvrait à peine ses fesses) telle une catin, qu’elle était d’une insolence jusqu’alors inconnue à Saint Andrews, manifestant un mépris sidérant envers l’enseignement prodigué et les professeurs.
Monsieur Arly décida de mener son enquête, désespéré par le comportement de cette étudiante. Il apprit que Miss K avait jeté son dévolu sur un jeune homme de sang royal qui honorait l’université de sa présence et qu’elle était prête à tout pour le faire tomber dans ses rets. Les efforts de la péronnelle avaient manifestement été payants puisque selon les échos remontés aux oreilles de Monsieur Arly, Miss K non seulement s’affichait partout aux côtés du jeune homme, mais également partageait son lit. Devenue la maîtresse d’une altesse, la vilaine se permettait tout ! Il était grand temps de réagir.
C’est ainsi que Monsieur Arly fit venir la jeune femme dans son bureau pour lui administrer une punition destinée à lui rappeler les usages et la faire revenir à la réalité de ses études. Comme elle en avait désormais pris l’épouvantable habitude, elle apparut vêtue d’une mini-jupe offrant le fessier de la roturière à quasiment tous les courants d’air et à la vue du professeur.
Monsieur Arly, assis à son bureau, l’invita fermement à approcher une chaise et à la disposer au centre de la pièce. Puis, après lui avoir ordonné d’ouvrir la porte du bureau, il s’installa lui-même sur la chaise d’un air grave.
- Approchez-vous mademoiselle ! Vous connaissez parfaitement la raison de votre présence ici.
- Si vous croyez me faire peur, Monsieur, vous vous trompez…
L’insolente, pensant sans doute échapper à la correction en raison de sa liaison quasi-royale, le narguait. Le sang de Monsieur Arly ne fit qu’un tour et, lui empoignant fermement le bras, il la bascula en travers de ses genoux, les fesses offertes à sa main. Tandis qu’il la maintenait fermement, sa main droite s’abattait en rythme sur chacune des fesses de l’étudiante. La main frappait dru et rapidement, le bureau fut vite rempli de claquements, de gémissements et de cris poussés par la jeune femme qui tentait vainement d’échapper à la fessée qui lui cuisait les rondeurs.
Les claques, bien appuyées, tombaient l’une après l’autre sur la culotte et la chair qui dépassait de celle-ci. D’un mouvement rapide, Monsieur Arly fit alors glisser la culotte le long des fesses et des cuisses de la jeune femme. Déjà colorés d’un rouge pâle, les deux globes fessiers apparurent aux yeux de l’enseignant qui, bloquant le bras de de la punie sur ses reins, s’évertua à les claquer de plus en plus fort dans un rythme implacable. Ce n’était plus des gémissements qui emplissaient le bureau et le couloir, mais de véritables cris de douleur, lesquels attiraient des étudiants qui assistaient de loin à la scène au point qu’une sorte d’attroupement s’était formé dans le couloir. Il était certain que toute l’université serait informée de la punition subie par Miss K…
Les claques tombaient en averse sur le fessier offert, lequel rougissait à vue d’œil. Dans le même temps, Monsieur Arly morigénait la jeune étudiante qui tentait vainement de gigoter pour échapper à la main très ferme du professeur, la sermonnait en lui rappelant son comportement lamentable et combien il était honteux de se faire ainsi corriger comme une gamine mal élevée, lui rappelant encore qu’il allait devoir rendre compte à ses parents qui dépensaient une fortune pour tenter de lui donner une éducation convenable.
Après de longues minutes, Monsieur Arly desserra son étreinte et la vilaine fut envoyée au coin, pleurant, jupe relevée sur les reins, culotte aux chevilles, les mains sur la tête. Sans un mot, Monsieur Arly corrigea quelques copies, puis intima à l’insolente l’ordre de revenir. Il la fit se pencher sur le bureau, les avant-bras posés sur le meuble, les fesses colorées d’un rouge presque carmin offertes à la punition qui n’était pas terminée et devait être mémorable.
La correction devait porter, il en allait de la réputation de Monsieur Arly et de la crédibilité de l’institution … Il se saisit donc d’une badine en forme de canne, instrument en rotin qui lui avait été remis lorsqu’il avait intégré la célèbre université, et dont tous les professeurs possédaient un exemplaire.
Il se positionna de manière à utiliser la badine sur les fesses de Miss K, la fit siffler dans le vide pour à la fois marquer l’esprit de la récalcitrante et en tester la souplesse, l’appliqua presque comme une caresse sur les fesses fort rougies, puis d’un coup sec et sifflant, cingla celles-ci de sorte qu’elles furent marquées sur toute leur largeur d’une zébrure magnifique.
Monsieur Arly répéta l’opération une bonne vingtaine de fois malgré les cris et les supplications de la jeune femme et son œil averti constata que le fessier portait sérieusement les traces de la sévère punition.
Mouchant et pleurant, s’engageant à désormais respecter les règles et à faire les efforts nécessaires, Miss K fut renvoyée au coin, telle une vulgaire chipie, méditer sur ses erreurs et la correction subie.
Dans le souvenir de Monsieur Arly, la leçon avait porté : la jeune femme avait dès lors été particulièrement assidue aux études. Cependant, depuis sa retraite, il se demandait toujours si son élève, maintenant mariée et mère de famille, ne recevait pas toujours quelque bienfaisante fessée.
On croirait à s'y méprendre quand on lit le récit que le nom de MIss K fait directement référence à Madame Kassandra qui officie á Paris et à Genève en donnant la fessée à de méchants grands garcons ainsi qu'à de vilaines grandes filles dont la réputation n'est plus à faire.