Depuis quelques semaines, je sentais bien qu’elle partait à la dérive. Ses réponses évasives à mes questions, son comportement erratique, ses rencontres dangereuses, ses colères, sa procrastination, son irrespect…Tout me laisser supposer un besoin de sérieux de recadrage.
Faut dire que cette peste n’était pas facile. A peine une bonne fessée reçue qu’elle recommençait les bêtises et qu’elle les accumulait. Et endurante à la fessée, la bougresse. La main, le martinet, la tawse, pourtant appliqué... moreDepuis quelques semaines, je sentais bien qu’elle partait à la dérive. Ses réponses évasives à mes questions, son comportement erratique, ses rencontres dangereuses, ses colères, sa procrastination, son irrespect…Tout me laisser supposer un besoin de sérieux de recadrage.
Faut dire que cette peste n’était pas facile. A peine une bonne fessée reçue qu’elle recommençait les bêtises et qu’elle les accumulait. Et endurante à la fessée, la bougresse. La main, le martinet, la tawse, pourtant appliqués avec force et rigueur sur ses fesses, rien pour lui arracher un gémissement, un cri ou une larme.
Je décidais donc de faire fabriquer un paddle. Bien lourd et bien épais en espérant que son application bien sentie la ramènerait à la raison.
Je devais aller la voir pour la remettre d’aplomb et un imprévu m‘avait contraint à reporter la fessée d’importance qu’elle devait recevoir. La vilaine profitait du répit involontairement accordé pour multiplier les mises en danger.
Je me décidais donc, toutes affaires cessantes, à la punir, cette fois, de manière à ce qu’elle s’en souvienne au moins quelques semaines et, remonté comme une pendule, de me rendre chez elle pour ce faire.
Je lui avais demandé de préparer tous les instruments dont elle pouvait disposer. Brosse, ceinture, un joli martinet que je lui avais laissé, spatule, tout était prêt sur la table basse.
Après une longue discussion, vint l’heure de la punition attendue et largement méritée. Je lui en avais promis une sévère, donnée avec tous les instruments dont elle disposait et ceux que j’apportais.
S’ensuivit donc une longue séance où la main, puis la brosse, la spatule claquèrent sur ses fesses nues. A dire vrai, je n’y allais pas de main morte. Pour la première fois, depuis que je la fessais, elle tenta d’imposer sa main entre son postérieur et la mienne qui claquait ses fesses.
Un séjour au coin, puis, allongée sur le lit, ce furent le martinet et la ceinture qui lui faisaient trembler les fesses chaque fois qu’ils s’abattaient sans pitié. Elle compta 60 coups de ceinture, appliqués avec force et détermination. Pourtant, elle ne craquait toujours pas…Je sentais qu’elle résistait de toutes ses forces à l’humiliation et à la douleur.
Nouveau séjour au coin, et cette fois, j’étais décidé à la faire lâcher prise avec l’ultime moyen à ma possession : le beau paddle à trou que l’excellente Sakura, dont je loue ici les mérites et l’art, avait fabriqué pour moi et dont elle m’avait assuré l’efficacité.
Lorsque le paddle d’abattit, bien à plat et lourdement, sur les fesses de ma punie, je sentis à ses gémissements, à son souffle, qu’elle allait lâcher. Sans aucune pitié, le paddle s’abattait sur les fesses. 10 fois, 20 fois, lourdement. Sa main tenta bien, en vain, de faire barrière. J’avais décidé d’être impitoyable.
Enfin ! Elle craquait, elle lâchait prise, elle se laissait aller, vaincue dans sa résistance…Tout son corps frémissait, secoué par les sanglots, les larmes inondant l’oreiller sur lequel reposait sa tête…