Des mois que j'échange avec elle, amoureuse de la fessée, elle ne l'a encore jamais donné... mais rien que d'échanger sur cette possibilité, j'en suis fréquemment excité,
... viens le jour fatidique de notre première rencontre. Je me suis habillé de manière élégante pour lui plaire. Je la vois arriver, vêtue d'une robe stricte mais suffisamment courte pour laisser deviner ses jambes 🦵. Comme deux amants adultères, nous nous cachons dans le fond d'un anonyme café parisien pour discuter.... enf... moreDes mois que j'échange avec elle, amoureuse de la fessée, elle ne l'a encore jamais donné... mais rien que d'échanger sur cette possibilité, j'en suis fréquemment excité,
... viens le jour fatidique de notre première rencontre. Je me suis habillé de manière élégante pour lui plaire. Je la vois arriver, vêtue d'une robe stricte mais suffisamment courte pour laisser deviner ses jambes 🦵. Comme deux amants adultères, nous nous cachons dans le fond d'un anonyme café parisien pour discuter.... enfin... de visu. Je la sais sans doute plus intimidée que moi. Et en proie à des doutes par rapport à la loyauté vis à vis de son mari. C justement ce qui me plaît, sa profonde humanité... même si nous n'avions rien prémédité, le désir de passer à l'action est terriblement présent à l'action. Était ce dans ce but, que dans un sac à main anonyme, elle avait caché les instruments de sévices (juste au cas où) . Elle m'en parle , et je lui demande d'ouvrir le sac et de me les montrer furtivement. Il y a là deux martinets .... mon excitation monte d'un cran. Je lui confesse mon erection. Joueuse autant que moi, elle me dit qu'il faut réprimer ces instincts...
La confiance étant suffisante entre nous, je lui propose de l'accueillir chez moi, moins anonyme qu'une chambre d'hotel) confiante... elle accepte
Le trajet qui nous conduit chez moi me paraît interminable. Fébrile d'excitation, il me tarde d'arriver. Un peu inquiet aussi car elle va découvrir mon univers. Mais je la sais indulgente . En arrivant, son œil aiguisé remarque la vaisselle non rangée..
Je lui suggère qu'avec l'absence de contrôle de mes pulsions viriles, cela pourrait aussi constituer un motif de punition
Moins farouche qu'elle n'aurait pu le laisser paraître, elle s'approche de moi, me donne une première tape sur les fesses, elle m'explique qu'elle va devoir baisser mon pantalon. En garçon docile, je mets les mains sur la tête, debout face à elle, je la laisse desserer la ceinture et entrouvrir mon jeans. Elle ne peut plus ignorer mon erection grandissante
Pleinement dans son rôle, elle joue les offusqué, même si elle n'est pas mécontente de cet effet qu'elle produit sur moi.
Elle me courbe sous un de ses bras et assène les premières claques sur mes fesses , d'abord doucement presque timidement, puis elle s'enhardit et claque de plus en plus fort.
Elle m'entends gémir de plaisir sous cette première fessée, elle me gronde et m'envoie au coin.
Docilement mais trop heureux de ses tendres réprimandes je m'y rends, les mains sur la tête.... elle s'approche de moi et me susurre à l'oreille : "tu n'as pas honte, un grand garçon comme toi, que je sois obligé d'être fessé à ton age ).... elle accompagne cette phrase d'une tape bien sentie sur mon slip..
Elle me tire alors par l'oreille pour me conduire au canapé ou elle s'assieds.
Debout face à elle, elle me deculottes délicatement et lentement, je dois rentrer le torse pour laisser mon sexe érigé, sortir du caleçon. J'ai honte mais suis tellement heureux à la fois. Je suis de De nouveau grondé pour mon absence de maîtrise..
Mais avant de m'ordonner de se coucher sur ses genoux, elle remonte savamment sa robe, pour découvrir ses cuisses, ce qui provoque un regain d'excitation.
Les claques pleuvent, elle s'enhardit , elle découvre qu'elle aime voir mes fesses rougir sous ses pluies de claques, parfois lorsqu'elle a peur que la douleur soit trop forte, elle alterne avec des caresses réconfortantes mais jamais impudiques
Je ne peux réfréner des mouvements ondulatoires sur ses cuisses. Un peu gêné, mais aussi émoustillée de l'effet produit, elle m'ordonne de me relever
Puisque tu ne sais pas te tenir, c le martinet que tu vas recevoir.
Docile, je m'agenouille sur le canapé, en prenant soin de bien cambrer mes reins
Je ne peux la voir, mais je l'entends farfouiller dans son sac. A sa grande surprise , sans doute aguerrie et un peu choquée par mes pulsions, elle sort le martinet le plus sévère.
Pleinement dans son rôle auquel elle s'adonne avec de plus en plus de plaisir, elle m'ordonne de compter chaque coup, qu'elle va m'assener
Elle s'adonne avec entrain à me cingler les fesses ... 50 coups pleuvent avant qu'elle n'arrete , pour me caresser et juger de la chaleur de mes fesses.
Cette vague de douceur provoque une ejaculation.
Choquée elle m'ordonne d'aller me doucher...
Un rien coquin, je lui suggère de venir me surveiller... afin que je n'en profite pas pour me masturber...
Pour maintenir la couleur rosée de mes fesses, je lui suggère de passer la pomme de douche sur mes fesses à la chaleur maximale,
Elles passent vite du rose au rouge.
Entièrement nu, devant elle, c dans ma chambre que je me rends afin de recevoir la suite de la correction.....
Attentive, elle prends soin de me faire caler des coussins sous mon ventre afin de lui offrir un cul rebondi.
Elle preleve sur mon jean, ma ceinture et m'informe que je vais être puni comme le vilain garnement que je suis.
Plus de compte demandé, c'est une cinglée violente de Ceinturon qui s'abat sur mes fesses comme pour vaincre ma concupiscence.
Après les plaisirs de la fessée érotique auquel elle a pris autant de plaisir que moi sans oser se l'avouer... viens la vraie punition, celle dont j'ai toujours rêvé après l'excitation.
J'ai mal, mais même si je ne suis plus excite, j'aime ça d'autant plus que pour la première fois, ma punisseuse y met de l'affect.
Enfin libérée de ses chaînes, elle se dechaine sur monQ , alternant le martinet, la ceinture..
Afin de prolonger la fessée et de trouver une position plus agréable, elle s'assied à qualifourchon sur mon dos.
S'ensuit une salve de claques à la main, mais aussi de caresses apaisantes sur mes fesses cramoisies.
Lorsqu'elle s'arrête enfin, épuisée mais satisfaite, je lui propose d'aller boire un verre.
Elle goutte au doux plaisir de notre secret, personne ne peut deviner que ses deux individus qui devisent tranquillement ont vécu une séance mémorable. Quel plaisir pour elle de savoir que SON puni sent la chaleur de ses mains sur ses fesses rougies.
Ils savent déjà tout deux qu'ils se reverront ...
... dans le train qui la conduit vers sa province, elle pense machinalement aux prochains instruments qu'il lui faudra acquérir pour rougir le q de son nouveau compagnon de jeux.
