Daddy avait su, je ne sais comment que j'avais fait le mur.
Certes, la maison était grande ainsi que le terrain adjacent.
Le lendemain matin et malgré l'interdiction de sortir de Daddy, je sortis par la porte à la place de la fenêtre. 500m plus loin, j'entendis sa voix :
- tu vas quelque part, jeune fille ?
- je vais me promener, c'est pas interdit que je sache ?
- tu me parles sur un autre ton sinon il pourrai t'en cuire...
- ça va c'est bon, (plus bas), c'est pas un vieux renard qui va me ... moreDaddy avait su, je ne sais comment que j'avais fait le mur.
Certes, la maison était grande ainsi que le terrain adjacent.
Le lendemain matin et malgré l'interdiction de sortir de Daddy, je sortis par la porte à la place de la fenêtre. 500m plus loin, j'entendis sa voix :
- tu vas quelque part, jeune fille ?
- je vais me promener, c'est pas interdit que je sache ?
- tu me parles sur un autre ton sinon il pourrai t'en cuire...
- ça va c'est bon, (plus bas), c'est pas un vieux renard qui va me dire comment diriger ma vie.
- Je te demande pardon ? Je crois que j'ai mal entendu la dernière partie de ta phrase.
- heu, non, rien daddy, bon j'y vais, à plus.
- D'accord, tu rentres à 23h, dernier carat.
- oui daddy
J'ai rejoint des amis en karaoke bar et je n'étais pas vigilante à l'heure qui passait.
Quand je fus rentrée, il était presque 1h du matin mais si je passais par la fenêtre, j'avais peut être une chance.
J'attendais cinq minutes puis je passais silencieusement devant la maison et longeait le côté gauche pour atteindre la fenêtre, à l'angle du mur, j'entendis :
- Tu te moques de moi ?
N'avais je pas dit "tu rentres à 23h?"
- Si daddy mais je suis fatiguée, laisse moi rentrer dormir s'il te plaît...
- Ne discute pas et viens là !
Je m'approchais de lui, il ne tarda pas à soulever ma robe de soirée, baisser ma culotte et me fesser sévèrement tout en me grondant.
Je ne tarda pas à gigoter, essayer de mettre ma main pour me protéger, qu'il prit doucement et me bloqua dans le dos. Il me demanda des excuses et continua de me fesser tant qu'il ne me sentais pas sincère.
Je sentis mes fesses devenir roses, rouges puis encore plus rouges et brûlantes. Je le supplier d'arrêter, failli tomber de ses genoux mais il me maintient en place à plusieurs reprises et me répétais qu'il attendait mes excuses et ne lâcherai pas comme ça.
À bout, vidée et esseulée, je finis par formuler des excuses qu'il jugea sincères, avec les larmes non loin mais qui ne roulerent pas sur mes joues.
Je me réveillai comme après avoir fait un rêve éveillé et oui cela ne s'est pas encore produit.
